Associés à l’impureté, la malignité et la lubricité durant l’antiquité, les roux continuent de prendre cher pendant le moyen-âge. L’Eglise fait du roux la couleur du malin et de la sorcellerie, ses reflets cuivrés rappelant les flammes de l’enfer dont sont issues les créatures arborant de telles chevelures. Michel Pastoureau explique que le roux était « la couleur du feu infernal et du visage de Satan«
En réalité, tout ça n’est…